Des personnes mal intentionnées s’oppose à la bonne gestion de la Directrice générale des PHC, Monique GIESKES.
Elles ont utilisé la presse pour nuire à son image, alors que cette femme dynamique travaille de main de maître pour relever cette société. Son succès, c’est précisément l’augmentation de la production d’huile de palme de 77%, en trois ans seulement. Ajouter à cela, le renforcement des capacités des travailleurs ainsi que l’amélioration de leurs salaires et conditions de vie.
Suite à ses accusations diffamatoires, voici le droit de réponse de la société des Plantations et Huilleries du Congo.
Communiqué
« Nous, Plantations et Huileries du Congo (PHC), contestons et déplorons formellement les déclarations contenues dans les articles publiés par un inconnu sur les sites de Dépêche.cd et dans le Journal « La Prospérité » paru en date du 15 avril 2024.
D’ores et déjà, nous confirmons que les déclarations contenues dans ces articles sont toutes mensongères et diffamatoires. Nous exigeons que ces médias puissent publier dans les 48 heures sur leurs sites et leurs colonnes, le présent droit de réponse afin de rétablir la vérité tronquée, faute de quoi, les médias précités et tous ceux qui les ont relayés seront assignés en justice conformément à l’article 360 de l’Ordonnance-Loi n°23/010 portant Code du numérique, promulguée le 13 mars 2023.
Pour mémoire, sachez que la Société PHC est la plus grande entreprise agro-industrielle de la RDC, spécialisée dans la production d’huile de palme et elle existe depuis 1911, soit 113 ans au service de la nation. C’est une société privée qui compte en son sein deux actionnaires, d’abord l’Etat congolais, qui est actionnaire minoritaire avec 23,8% des actions et Straight KKM2, qui est actionnaire majoritaire avec 76,2% des actions. Straight KKM2 est devenu actionnaire majoritaire en 2020 en rachetant, grâce au financement issu uniquement des fonds gérés par Kuramo Capital Management, un fonds d’investissement new-yorkais fondé par M. WALEADEOSUN, les actions de Feronia qui avait fait faillite. Ce qui fait que Monsieur WALE ADEOSUN est actuellement l’actionnaire majoritaire absolu des PHC.
En février 2021, Straight KKM2 a mis en place à la tête de PHC, pour la première fois en 110 ans d’histoire, un leadership entièrement congolais avec Monique GIESKES comme Directeur Général, doté d’une vision de créer une prospérité partagée pour toutes les parties prenantes de l’entreprise.
La nouvelle équipe gestionnaire de PHC a réussi à augmenter la production d’huile de palme passant de 45 000 tonnes en 2020 à 80 000 tonnes en 2023 et compte produire 93 000 tonnes en 2024. Elle se propose d’en produire 100 000 en 2025. Qui dit mieux !
Le nombre de ses employés est passé de 7 000 à 10 000 cadres et agents aujourd’hui, tous ayant des contrats directs signés en bonne et due forme avec la société.
La nouvelle équipe de direction de PHC a mis en place des procédures financières rigoureuses et transparentes basées sur les meilleures pratiques internationales de gestion fondées sur le droit OHADA, de documentation et de reporting respectueuses des procédures d’audit et conformes à toutes les obligations fiscales de la République Démocratique du Congo.
Au-delà de son business de production d’huile de palme, PHC s’est engagée dans les activités de l’Agenda de Transformation de l’Agriculture (ATA-RDC), programme-phare de S.E.M. le Président de la République pour réaliser « la revanche du sol sur le sous-sol ».
PHC veut se faire le fer de lance de cette vision présidentielle en RDC. Dans le cadre dudit programme, en 2023, PHC a produit 52 tonnes de semences améliorées de riz et de maïs qui ont été certifiées conformes par le Service national des semences (SENASEM) et mises à la disposition des agriculteurs congolais locaux pour une grande multiplication.
En outre, la société PHC dispose des activités dans les zones rurales des provinces de l’Équateur, de la Mongala et de la Tshopo. Dans ces endroits les plus reculés du pays, en plus de produire de l’huile de palme, dans le cadre de la responsabilité sociale de l’entreprise, PHC gère à ses frais propres, 4 grands hôpitaux avec 460 lits, 16 dispensaires et 3 centres de santé. Chaque année, ces hôpitaux soignent plus de 150000 patients, font 1350 opérations chirurgicales majeures, et permettent à plus de 2000 enfants congolais d’y naître gratuitement en toute sécurité.
En plus, PHC a mis en place et entretient 70 puits forages qui offrent de l’eau potable aux habitants des communautés locales environnantes. En trois ans, PHC a construit et équipé totalement 23 écoles de six classes chacune, 12 centres de santé, 7 maisons de résidence des chefs de groupements, un entrepôt et 6 maisons de passage gérées par les communautés pour leurs besoins administratifs.
PHC entretient les routes de desserte agricole sur plus de 100 km2. PHC appuie plus de 2400 familles paysannes vivant autour de ses sites, communautés qu’elle a structurées en 90 Organisations de Producteurs Agricoles (OPA) pour la production alimentaire et la commercialisation des surplus en vue d’améliorer leur pouvoir d’achat.
Soucieuse d’amplifier davantage cet impact social dans ses concessions, PHC a lancé avec succès en septembre 2023 la « Fondation PHC ». La gestion de la Fondation a été confiée au Professeur Mpoko BOKANGA, scientifique de renom qui a plus de 35 ans de carrière dans le développement international avec des institutions du système des Nations Unies comme l’ONUDI (Autriche, Kenya, Érythrée, Sud Soudan), l’IITA (Nigeria et partout en Afrique), et la Fondation Africaine pour les Technologies Agricoles (AATF, Kenya) dont il fut le premier Directeur Exécutif, après avoir enseigné sur les agro-industries à Alabama A&M University (Etats-Unis).
Le succès financier de PHC et son impact social grandissant auprès de ses communautés environnantes sont à mettre au crédit de la rigueur et de l’expertise managériale de Madame Monique GIESKES. Cette dame de fer dotée d’une vision claire a imprimé au sein de PHC une gestion transparente axée sur les résultats. Les travailleurs et leurs dirigeants s’auto évaluent au jour le jour, les trois grands sites de production s’évaluent aussi dans une compétition permanente qui suscite l’émulation de tout le monde ; et chaque année les meilleurs sites, les meilleurs cadres et agents sont primés à Kinshasa devant les actionnaires et différentes autorités du pays, ce qui constitue une grande première au sein de PHC.
Cette grande innovation managériale porte la signature de Mme Monique GIESKES. Ce succès fait des émules et envieux qui n’hésitent pas à l’attaquer dans les médias. Le conflit judiciaire, mentionné dans l’article précité, qui opposait Madame GIESKES à son ancien employeur est aujourd’hui résolu en sa faveur en RD Congo et aux Pays-Bas.
Il n’y a pas de crise dans la gestion en ce moment au sein de PHC. En septembre 2023, le Président du Conseil d’Administration de PHC, en poste depuis 2009, le Professeur Georges BUSE FALAY a démissionné pour des raisons personnelles. Le remplacement de cet administrateur qui représentait l’actionnaire minoritaire, l’État congolais, est en cours. Nous sommes prêts à collaborer avec l’État congolais pour approuver un candidat qualifié et crédible en conformité avec les statuts de PHC ainsi que les règles de l’OHADA (Art.10). Ici, c’est une question de respect scrupuleux de la procédure en la matière et qui n’a rien à avoir avec un quelconque détournement qui n’existe pas au sein de PHC.
Le Conseil d’administration de PHC continue à fonctionner normalement d’après les règles de l’OHADA et les lois congolaises régissant le fonctionnement des entreprises du portefeuille. Si quelqu’un dispose d’une preuve quelconque de malversation financière, celle-ci doit être exhibée devant le tribunal compétent qui enquêtera et tranchera en conséquence.
La nouvelle équipe dirigeante de PHC, sous le leadership de Monique GIESKES, s’est attelée à faire de cette société, une entreprise modèle qui a comme ancrage de gestion « les règles de la bonne gouvernance ». Par conséquent , toutes les décisions sont prises sur des bases scientifiques, juridiques, argumentées par des données solides et motivées, orientées par le besoin de répondre in fine aux défis de développement auquel fait face notre pays, particulièrement le besoin de nourrir nos 100 millions de concitoyens à partir de ce que nous produisons nous-mêmes. Nous devons donc consommer ce que nous produisons et produire ce que nous consommons.
Sous la direction clairvoyante de Mme GIESKES, PHC a atteint des résultats sans précédent qualifiés d’historiques depuis la création de cette société en 1911.
En trois ans, PHC a connu une augmentation de la production d’huile de palme de 77 %. Cette croissance rapide s’est construite sur une productivité améliorée tout en maintenant la superficie des plantations, en renforçant les capacités des travailleurs grâce à la formation continue, à de meilleurs salaires et conditions de vie améliorées, en promouvant les meilleures pratiques de gestion et les techniques de production durables. GIESKES a réussi à rétablir des relations positives avec les communautés riveraines des sites opérationnels de PHC.
Engagée dans la nouvelle vision de l’entreprise consistant à créer une prospérité partagée grâce à l’agrobusiness, elle a initié de nombreuses actions sociales au profit des employés et communautés environnantes.
N’ayant pas compris l’engagement à la masculinité positive prônée par le Chef de l’État, les auteurs de l’article paru sur Dépêche.cd et La Prospérité, cherchent ni plus ni moins à briser l’élan de confiance qui existe entre cette digne fille du pays et les 10.000 travailleurs de PHC. Nourris par un esprit de la féminité péjorative, les commanditaires de ces articles oublient que la force d’une femme n’est pas dans l’arrogance, le manque de respect des textes et le non-respect des valeurs, mais plutôt dans la vérité, la méritocratie et la pureté.
Nous en avons pour preuve les nombreuses pétitions signées par les travailleurs de PHC aussi bien à Kinshasa qu’à l’intérieur du pays, lesquelles pétitions soutiennent toutes la gestion magistrale et providentielle de Monique GIESKES. Les journalistes qui se sont livrés à cet exercice de sape sans chercher à croiser préalablement les sources, seront tout simplement poursuivis en justice pour diffamation.
Plantations et Huileries du Congo (PHC)