José Mpanda a dans son exposé au sénat après avoir présenté le PVA et spécifié les difficultés qu’il rencontre sur tous ses six sites à travers le pays, particulièrement sur celui de Lubondayi, objet de la question orale avec débat du sénateur Denis Kambayi.
Il a concrètement invité les élus des élus à avoir un petit champ dans sa famille etc.
« Cela doit s’arrêter, il a pu répéter obligation est faite à chaque parlementaire (député national et sénateur), aux ministres nationaux et provinciaux ainsi qu’aux députés provinciaux d’avoir chacun un champ d’au moins deux hectares, cela sera, non seulement un bel exemple donné à la population, mais aussi et surtout une contribution efficace à l’autosuffisance alimentaire par la production locale dans toutes les provinces selon les filières agricoles particulières à chacune d’elle », a-il indiqué.
Pour José Mpanda qui se lance le défi de voir pendant son mandat le sol se venger sur le sous-sol pour ainsi diversifier l’économie et créer les conditions d’une croissance inclusive, seul le partenariat public-privé (PPP) est l’approche idéale pour arriver à booster l’agriculture et diminuer ainsi progressivement la dépendance alimentaire dont la RDC est tributaire au travers les importations qui lui coûtent annuellement au moins 2,5 milliards USD selon les statistiques de la Banque centrale du Congo.